Le sourire des femmes

Encore sous le coup du départ soudain de son compagnon, Aurélie remarque dans une librairie un roman intitulé Le sourire des femmes. La lecture passionnée de ce livre, où elle se reconnaît dans le personnage principal, la sauve du désespoir. Aussi décide-t-elle de remercier l’auteur en l’invitant au restaurant. Mais rencontrer l’écrivain par l’intermédiaire de son éditeur se révèle compliqué. Elle rencontre son éditeur, mais beaucoup de rendez-vous ratés avec l’auteur.

Avec Nicolas Barreau, il faut s’attendre à une heureuse issue

La vie en Rosalie

Laurent tient une jolie papeterie à Paris, rue du Dragon, où elle confectionne et vend des cartes poétiques. Un jour, un vieil homme entre et renverse un présentoir. Quelle n’est pas la surprise de Rosalie face à cet inconnu qui n’est autre que Max Marchais, dont les albums ont bercé sa jeunesse ! Séduit par son talent, il lui propose d’illustrer son célèbre conte, Le Tigre bleu. Ravie de cette heureuse collaboration, elle expose l’ouvrage publié dans sa devanture. Mais un jour, un professeur de littérature anglo-saxonne, fraîchement débarqué des États-Unis, surgit dans son magasin et, après avoir lui aussi renversé un présentoir, soutient mordicus que l’histoire du Tigre bleu lui appartient. Max Marchais serait-il un plagiaire ? Les deux jeunes gens, d’abord hostiles, vont faire cause commune pour enquêter et mettre au jour un secret qui les liera à tout jamais.
Comme dans les précédents Barreau, le destin se nourrit de coïncidences, de hasards et l’amour savamment contrarié doit triompher de malentendus et quiproquos. Régal de suspense et d’émotion, La Vie en Rosalie est une histoire mutine dont le charme délicatement anachronique est une incitation à prendre son temps et savourer les petits riens de la vie.

Un soir à Paris

 

Il était une fois le cinéma Paradis…Guiseppe Tornatore et Philppe Noiret, des références
Alain Bonnard, jeune propriétaire d’un cinéma, se décide à inviter une jeune inconnue, Mélanie, qui assiste chaque mercredi à la dernière séance. Deux jours plus tard, un célèbre réalisateur annonce au jeune homme qu’il désire tourner son prochain film dans le cinéma. Alain pense que la chance lui sourit.
Plein de clins d’oeil au cinéma, allusion à Midnight in Paris de Woody Allen, ce n’est pas un hasard si le réalisateur se nomme Allan Wood, une ode aux cinémas d’art et d’essai, au cinéma des années 50, la nouvelle vague et des films-culte.
Pour cinéphiles
Un livre merveilleux

Le café des petits miracles

Éléonore Delacourt a vingt cinq ans et aime la dolce vita. Elle ne court pas, elle se promène. Elle n’est pas impulsive, mais réfléchie. Elle ne déclare pas sa flamme, elle préfère en rêver. Timide et romantique, elle adore s’évader dans les livres et croit aux présages, petits messagers du destin. Elle n’a pas hérité de l’intrépidité de sa grand-mère, qui l’a pourtant élevé et lui a légué l’objet qu’elle chérit le plus : une bague en grenats avec une gravure en latin Omnia vincit amor.
Elle n’est a priori pas le genre de fille qui, de but en blanc, vide son compte en banque et, par une froide matinée de janvier, saute dans un train à destination de Venise ! Mais parfois la vie est imprévisible et une phrase énigmatique retrouvée dans un vieux livre peut avoir des conséquences inattendues.

Une fois encore Nicolas Barreau nous embarque dans une magnifique histoire d’amour, qui nous enseigne que laisser tomber son sac dans le Grand Canal, faire confiance à un vénitien à la beauté ténébreuse et sentir la terre se dérober sous les pieds peut aussi être une chance.