L’arlequin

La commissaire Maxime Tellier reçoit la visite d’une vieille dame qui vient lui annoncer qu’il y a un « ceral kilor » qui sévit dans son immeuble du XVIème: trois personnes  sont mortes à quelques jours d’intervalle. Le dernier écrasé par un bus, lle gardien tombé d’un escabeau et un vieux monsieur tombé en descendant l’escalier. Coïncidence ou meurtres? L’enquête est rondement menée.

Elle est contactée par la DSC pour participer à une enquête à L’isle-sur-la-Sorgue, deux jeunes femmes sont retrouvées assassinées: le tueur les a maquillées et habillées comme des poupées et découpé un morceau de peau sur l’abdomen, macabre mise en scène.

Ceci rappelle à Maxime une enquête, qu’elle a menée avec son mentor Enzo Bertolone? douze ans auparavant, qui avait abouti à l’arrestation du coupable. Le mode opératoire étant le même y a-t-il eu erreur judiciaire? Un « cold case » à rouvrir………

Un troisième meurtre  sur le même modèle…..Polar qui nous tient en éveil, toujours passionnant.